Vendredi 16 décembre, début de l’hiver
6 ème NUIT DE LA FRATERNITÉ au profit des associations d’aide aux sans-abri
Depuis 2011, la Nuit de la Fraternité rassemble avec un succès croissant plusieurs centaines de personnes sous les arcades de Talensac. L’an passé, elle a notamment reçu la visite de Joanna Rolland, Maire de Nantes, et de Laurence Garnier… Lire
La Nuit de la fraternité a réchauffé les cœurs à Nantes
La Ville s’est mobilisée, vendredi soir, à Talensac, aux côtés des associations en soutien aux personnes sans abris . L’amitié, la chaleur humaine et le partage n’ont pas raté le rendez-vous donné vendredi soir par Logement fraternité. L’élan de solidarité a résonné très tard sous l’auvent des halles de Talensac.
Raymond et le guitariste Daniel Givone : la rue et la musique ont fraternisé vendredi soir à Talensac
Record battu par les restaurateurs à la Nuit de la Fraternité
Les professionnels du GNI Grand Ouest (Groupement National des Indépendants de l’hôtellerie et de la restauration) ont profité de leurs vœux de début d’année pour remettre officiellement à Logement Fraternité le chèque représentant le produit de leur participation gracieuse à la dernière de la Fraternité. Son montant de 2954 € dépasse tous ceux des années précédentes. Le GNI reste un partenaire déterminant de la Nuit de la Fraternité ainsi que maintenant la chambre des métiers qui aura fourni cette année d’excellentes pâtisseries et qui s’est déjà engagée pour la prochaine édition.
Quelques photos de cette soirée d’amitié et de partage
En fanfare avec les Trompettes de Fallope
En rythme aussi avec Batala
Dans la Fraternité également avec la chorale « Au clair de la Rue »
Sous les Halles de Talensac, à Nantes, sous la direction de « Paulo », un bénévole (de dos), les sans-abri interprètent « Chanson pour l’Auvergnat » de Georges Brassens, « La Tendresse » de Daniel Guichard et « Rue des trois matelots », une chanson de marins. C’est la Nuit de la fraternité, une soirée destinée à sensibiliser à l’action des associations, à nouer des amitiés, à recruter des bénévoles et à collecter des fonds. (Jérémie Lusseau/Hans Lucas -La Croix)
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